L'EAU - un enjeu majeur sur les prochaines années
L'EAU -un enjeu majeur sur les prochaines années
Depuis plus d’une dizaine d’années, les grandes multinationales, les grandes puissances ont parfaitement compris quelle serait la nouvelle richesse planétaire la plus convoitée. Elles ont mis en place de véritables actions pour s'accaparer un BIEN COMMUN, une ressource VITALE pour l’humain : L’EAU.
L’eau en tant que ressources pour les agriculteurs
Sainte Soline a été récemment le théâtre d’une manifestation hautement réprimée par les forces de l’ordre. Sans irrigation, il n’y a pas d’agriculture. Selon Benoit BITEAU, député européen et paysan, seuls 5% des agriculteurs ont un accès à l’eau. 95% des agriculteurs qui participent à la souveraineté alimentaire de la France réussissent à produire de l’alimentaire sans les méga bassines. Ces méga bassines coûtent une fortune au contribuable et profite à une minorité. C’est une appropriation de l’eau (= bien commun) par certains agriculteurs au détriment du reste de la population agricole.
Je vous invite à visionner cette explication très claire que délivre Emma Haziza, une hydrologue, chercheuse pluridisciplinaire, enseignante et conférencière française.
La question des bassines est complexe. D'une part, elle permet à certains agriculteurs de stocker le trop plein d'eau des nappes phréatiques en hiver et de l'utiliser en cas de sécheresse l'été notamment quand il y a des mesures de restriction d’irrigation. Mais d'autre part, le premier utilisateur de l’eau reste le milieu naturel. L'eau qui s'infiltre dans les sols génère à son tour de nouvelles pluies, de nouvelles boucles du cycle de l’eau. En effet, on observe une coïncidence entre les cartes des territoires couverts par des bassines agricoles et celles des stress hydriques des dernières années. Pour conclure, le problème aujourd’hui n’est pas tant l'utilisation des bassines que le court-termisme. L'agriculture doit s’extraire de la question de court-terme et de penser sur le long terme. Les prélèvements dans les nappes salées du Tigre et de l’Euphrate ont entraîné la désertification de ces territoires longtemps désignés comme le croissant fertile...
L’eau en tant que ressources pour les populations
Il m’apparait important de faire un lien entre l’accaparation de l’eau par des grandes puissances et le traité que l’O.M.S. est en train de créer, un accord sur la préparation et la riposte face aux pandémies.
Quelques dates :
Décembre 2021 : création de l’organe O.I.N. – Organe Intergouvernemental de Négociation
Mars 2022 et juin 2022 : premières réunions
Proposition de l’O.I.N. « Habiliter l’O.M.S. à remplir son mandat en tant qu’autorité de direction et de coordination du travail sanitaire international, y compris pour la préparation et l’intervention en cas de pandémie ».
L’O.I.N. espère conclure l’accord en mai 2024
En clair cet accord permettra à L’O.M.S. de déclarer les pandémies et soumettre les états membres à son autorité « de direction et de coordination du travail sanitaire international ». Ce traité est un projet liberticide et anti-démocratique car une fois son texte en vigueur, il instaurera un « Etat mondial, policier, médical et scientifique » dont l’autorité outrepassera celle des Etas et leurs constitutions.
Ce traité est en réalité un projet par étapes. L’O.M.S. prévoit un projet pour les 50 à 60 ans à venir selon 3 axes dont 2 axes se trouvent encore dans la partie immergée de l’iceberg :
Axe 1 : La santé – obligation sanitaire lors de la survenue d’une épidémie qui serait décrétée par l’OMS
Axe 2 : La nourriture – comment se nourrir ? contrôle de notre alimentation
Axe 3 : La gestation des enfants – contrôle des naissances
Ainsi une pandémie permettrait à l’OMS de contrôler à la fois les naissances, notre alimentation, notre santé par des vaccinations, des médicaments. Ce traité nous tirerait vers un eugénisme au travers de pandémies, au travers de situations qui lui permettraient de déclencher certains aspects de son traité afin de faire une sélection sur l’être humain. L’O.M.S. au fil du temps, avec les pays signataires, prendrait la direction de tous ces pays supplantant toute idée d’Etats responsables, d’Etats nations.
Le rapport avec l’eau devient alors évident.
Les pays réfractaires à la signature de ce traité, ceux qui ne suivront pas les règles ou les remettront en question seront écartés, laissés pour compte. L’eau sera alors un moyen de contrôle qui les laissera en dehors du système jusqu’à les sacrifier. Ce scénario est digne d’un film de science-fiction et pourtant le projet est là, à nos portes. Il vient dans la continuité de ce que nous avons vécu depuis 3 ans et cette information participe de la prise de conscience nécessaire pour faire les choix qui vont s’imposer à nous en fonction de l’évolution des événements.
Le mariage entre la finance et l’eau a déjà commencé